Las aucas
Laurent VAYSSADE
VOLAILLE - PIGEONS - LAPINS
--- En 1998 ---
Introduction
La maîtresse de maison, la patrona, régnait sur le potager (òrt) et la basse-cour qui permettaient de couvrir une bonne partie des besoins alimentaires. Les excédents vendus au marché lui procuraient un peu d’argent pour les besoins de la maison.
En général, les oies (aucas) n’étaient pas gavées (embucadas) mais engraissées avec des pâtées (pastadas).
Les quartiers confits d’oie ou de canard permettaient à la maîtresse de maison de recevoir convenablement un visiteur arrivé à l’improviste.
Informateur
« La bèla-maire aviá d’aucas e fotiá aquò al topin. Las fasiá venir atau, que de milh n’i aviá pas. »