Lo volam
Roland NIEL
MOISSONS
Proverbe
--- En 1998 ---
Introduction
Les moissons mécanisées ont succédé aux moissons avec la falç ou lo volam autour de la Première Guerre mondiale. Il y eut tout d’abord des machines gavelairas, puis des ligairas. Les ouvriers agricoles ne virent pas arriver ces machines d'un très bon œil.
On faisait des tas (crosèls, garbairons) de douze gerbes dans le champ moissonné. Ces crosèls étaient ensuite parfois disposés en petits gerbiers d'une centaine de gerbes (garbas), dans le champ, avant d'être transportés pour former un grand gerbier (plonjon) près de l'aire de battage (sòl).
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Informateur
« Meissonàvem encara al volam. Fasiam de plonjonets e n’ingrunàvem la mitat. Mès, coma se ditz : “Aquel qu’a de ben, cal que ne pèrde.” »