Lo lard o la fuèlha de lis pels amasses
Josette POUJOULY
SANTÉ
--- En 1998 ---
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu'en dernier recours.
On faisait mûrir un abcès, un panaris ou un furoncle (amàs) avec du lard (lard, carn grassa) ou une feuille de lis (flor de liri).
Informateur
« Quand avián un panàri, metián de fuèlhas de lis dins d’ai(g)ardent, o un bocin de lard que metián atanben. »