Trois hommes sur le pas de porte d'une épicerie (espiçariá) et porte fortifiée appelée Tour haute (Tor d'amont ou Pòrta de Sobiran)
MÉTIERS
HISTOIRE
COMMUNE
Introduction
Trois hommes sur le pas de porte d'une épicerie (espiçariá) et porte fortifiée appelée Tour haute (Tor d'amont ou Pòrta de Sobiran), place des Conques
« L’abbé E. Cance dans Villeneuve-la-Crémade (1954) et J. Dumoulin dans Le consulat de Villeneuve-de-Rouergue (1960) et dans Villeneuve et le Rouergue occidental, XIe-XIVe siècles (1990) ont longuement parlé de l’histoire de cette localité. Villeneuve est dit aussi Villeneuve-la-Crémade (souvenir d’un incendie, confusion avec le nom d’une localité de l’Hérault ?). La ville a été fondée au milieu du XIe s. par l’abbaye de Moissac avec l’accord de l’évêque de Rodez et du comte de Toulouse et de Rouergue. Pierre Brenguier, évêque de Rodez posa la première pierre. En 1213, l’évêque de Rodez acquit la moitié des dîmes et du patronat. La seigneurie appartenait aux comtes de Toulouse. En juillet 1214, Simon de Montfort la céda à l’évêque de Rodez. Cependant Alphonse de Poitiers possédait encore en 1269 la moitié de la juridiction. La ville longtemps opposée à celle de Villefranche (intérêts économiques concurrents), fut prise par les protestants de cette dernière ville en juillet 1562 et les prêtres furent massacrés. L’église, dédiée au saint Sépulcre, est un bel édifice roman en forme de croix grecque, augmenté d’une n
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