Las flors de lire per las plagas
Paul QUERBES
SANTÉ
--- En 1997 ---
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu'en dernier recours. On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lis blanc, menthe, arnica, millepertuis…
Pour les brûlures (brutladuras), les coups (pics) et les plaies (plagas), on utilisait le lis (lire).
Informateur
« Sus la chiminièa i aviá de topinons ambe de flors de romèc, de guimauva, la flor de lis...
Quand nos fasiam mal nos metián una petala de lis trempada dins d’aigardent. »