Lo lach-farrat
Marinette BARBANCE
SANTÉ
--- En 1994 ---
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…
Informateur
« Quand èrem malautes, de còps que i a, nos fasián de lach farrat, i trempavan lo pica-fuòc dedins o los escaufa-lièch. »