Las danças

Auguste (Lo Gardon) REY

CONSCRITS - FÊTE - MUSICIENS

--- En 1992 ---

Introduction

Auguste a été pour nous un excellent informateur au sujet des danses qui se pratiquaient dans sa région à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Le branlou (branlon) par exemple se dansait encore dans les années cinquante principalement dans les noces ou à la fin des bals.

Le branlon cependant ne se dansait pas dans l’ensemble du canton. On ne le connaissait pas à Cabanès, ni à Naucelle. Par contre il se dansait dans toutes les autres communes, Tauriac, Saint-Just, Camjac, Meljac, Centrès… Cette danse qui n’est pas connue dans le Carmausin (dans le Tarn elle ne se danse que sur la rive gauche du Tarn) était par contre très populaire dans le Sud-Aveyron, le Lévézou, la région de Réquista et de Cassagnes. Les airs qui nous ont été joués à l’accordéon par Auguste ou chantés par d’autres personnes s’apparentent à ceux populaires dans la région de Réquista.

A la fin des bals et des fêtes, on dansait parfois la dança de la balaja connue aussi sous le nom de la viron. Parfois on l’exécutait sur l’air de L’a copat lo topin la Masarça

Informateur

Transcription OC
Traduction FR

« [Lo branlon], sustot quand i aviá de vièlhs. Ieu ai fachas de nòças que reelament lo fasián. E los joves s’i fotián.

En principi, ieu la jogavi totjorn dobla la borrèia. Il y en a tellement des bourrées, jogàvem pas jamai la mèma. Cal qu’una borrèia lève lo dançaire.

Normalament, jogàvem en fa aicí amb un “si bemol à la clé” presque totas las borrèias. Èra melhor per cantar. »

Communes concernées

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