Per una meningita
Elie et Odette SOLANGE
SANTÉ
--- En 1998 ---
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…
On faisait aussi souvent appel à des guérisseurs.
Pour soigner une congestion (mal de costat) ou en cas de méningite (mal cuc), il existait un remède barbare consistant à ouvrir un chat ou un pigeon vivant pour le poser sur le corps du malade.
Informateur
« Per una meningita, i te fotèron un estron de pòrc dessús. Un autre còp, dubri(gu)èron un cat. »