Lo camin de fèrre

Pierre MARCILHAC

HISTOIRE

TRANSPORTS

--- En 1997 ---

Introduction

L’irruption du train, au milieu du XIXe siècle, dans les campagnes rouergates ne manqua pas de marquer les imaginations. On le nommait bèstia negra.

La construction de la voie ferrée se traduisit par un apport en numéraire au travers des expropriations et du revenu d’appoint pour les travailleurs du pays. Mais il y eut de nombreuses réticences. A Marcillac on craignait que le bruit ne gâte le vin du Vallon.

La mise en place de nœuds ferroviaires comme Capdenac, Sévérac ou Tournemire ont créé des conditions favorables à la francisation : urbanisation, cadres français ou francisés… Les employés et leur famille y étaient logés dans des bâtiments appelés casernes aménagés par les compagnies du chemin de fer.

Mais, jusqu’au milieu du XXe siècle, la langue des employés du chemin de fer, recrutés localement pour la pose et l’entretien des voies ou pour le service, était l’occitan.

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