Las aucas
Jean et Marie-Thérèse FRANC
VOLAILLE - PIGEONS - LAPINS
--- En 1998 ---
Introduction
La maîtresse de maison, la patrona, régnait sur le potager (òrt) et la basse-cour qui permettaient de couvrir une bonne partie des besoins alimentaires. Les excédents vendus au marché lui procuraient un peu d’argent pour les besoins de la maison.
En Viadène, les oies (aucas) étaient souvent gardées dans des communaux humides.
En général, elles n’étaient pas gavées mais engraissées avec des pâtées. Les quartiers confits d’oie ou de canard permettaient à la maîtresse de maison de recevoir convenablement un visiteur arrivé à l’improviste.
Informateur
« Anavan far pasturar las aucas pels comuns. Anavan manjar de joncs. Les fasián petar les joncs ! »