Embucar
François BLANCHER
VOLAILLE - PIGEONS - LAPINS
--- En 1998 ---
Introduction
La maîtresse de maison, la patrona, régnait sur le potager (òrt) et la basse-cour qui permettaient de couvrir une bonne partie des besoins alimentaires. Les excédents vendus au marché lui procuraient un peu d’argent pour les besoins de la maison.
En général, les oies (aucas) n’étaient pas gavées (embucadas) mais engraissées avec des pâtées (pastadas).
Les quartiers confits d’oie ou de canard permettaient à la maîtresse de maison de recevoir convenablement un visiteur arrivé à l’improviste.
Informateur
« I aviá de païsans que avián qualquas aucas e las embucavan ambe de milh que crompavan. Quand avián pas de milh, fasián ambe lo gran qu’avián, de blat. N’i aviá qualqu’unses que lo fasián. »