La pastada
Marie-Louise SEPTFONS
VOLAILLE - PIGEONS - LAPINS
--- En 1998 ---
Introduction
La maîtresse de maison, la patrona, régnait sur le potager (òrt) et la basse-cour qui permettaient de couvrir une bonne partie des besoins alimentaires. Les excédents vendus au marché lui procuraient un peu d’argent pour les besoins de la maison.
En général, les oies (aucas) n’étaient pas gavées (embucadas) mais engraissées avec des pâtées (pastadas).
Les quartiers confits d’oie ou de canard permettaient à la maîtresse de maison de recevoir convenablement un visiteur arrivé à l’improviste.
Informateur
« Las embucàvem pas mès ne fasiam de confits. Las barràvem e lor fasiam de pasta ambe d’èrbas e de farina, e aprèssa manjavan de gran. Avián pas bien de fetge. Copàvem las patas e les còls e manjàvem aquò a part. »