Labour (laur) avec une charrue Dombasle et deux paires de bovidés (parelhs, prodèl) devant une chapelle (capèla) et une gare (gara), 1897
COSTUME
LABOURS
Introduction
Labour (laur) avec une charrue Dombasle et deux paires de bovidés (parelhs, prodèl) devant une chapelle (capèla) et une gare (gara), 1897
Famille Roux
« Les efforts que demandaient la Dombasle aux attelages n’avaient pas de points communs avec l’araire. Une paire de vaches attelée à l’araire se promenait sur les guérets (rappelez-vous l’attelage au Berlicou : sa sœur associée avec sa vache !), tandis que la Dombasle éprouvait mieux les paires de bœufs. Et cet inconvénient fit hésiter longtemps nos cultivateurs. On tourna l’obstacle en labourant dans le sens de la pente, à rego perdudo, et uniquement en descendant. On ne laboura en va et vient qu’en terrain plat. (...) Le fermier de Laubal, Fourquié, homme d’expérience s’il en fut, consentit bien à adopter la Dombasle parce qu’il possédait les plus forts attelages de la commune, mais il ne permettait le labour qu’à la descente, et il coupait en trois tronçons son grand champ de l’Adret, qui, entre la route et le ruisseau du Mejanet, ne dépasse pas trois cents mètres. Faire tracer à une Dombasle une ligne continue de plus de cent mètres sans laisser souffler les bœufs lui apparaissait dangereux. (…) En ce qui concerne Lunac, la première Dombasle arriva chez Moly à Loupias en 1862. On al
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