Famille sur le perron (pompidor) ou dans les escaliers (escalièrs) de leur maison (ostal), petits pigeonniers (colombièrs) en bois aménagés sous les avant-toits, à Bedène, 1931
FAMILLE
MAISON
VOLAILLE - PIGEONS - LAPINS
Introduction
Famille sur le perron (pompidor) ou dans les escaliers (escalièrs) de leur maison (ostal), petits pigeonniers (colombièrs) en bois aménagés sous les avant-toits, à Bedène, 1931
Hélène, Martin, Nathalie et Georges Barbance, ?, Henri et Gilbert Barbance, ?, Berthe Barbance, ?, ?, ?.
Fréquent en toponymie, le terme de colombier (colombièr) n’est guère utilisé pour pigeonnier. Dans l’usage, on parle de pijonièr. De la même manière, si le terme de colomb favard est utilisé par les chasseurs pour désigner le pigeon ramier, on emploie surtout celui de pijon pour le pigeon. Le pigeon procurait un complément d’alimentation ou de revenus à peu de frais car il allait chercher sa nourriture un peu partout. Il fournissait la colombine (galinassa, colombina) dont on se servait pour les jardins et, diluée, pour les vignes. On redoutait cependant leurs fientes sur les toitures, surtout lorsqu’on récupérait l’eau pour alimenter les citernes. D’où l’intérêt des pigeonniers (colombièrs) isolés. Presque toutes les fermes
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