Vue générale, clocher (cloquièr) et Roc de Caylus au loin, 2010

HISTOIRE

COMMUNE

Introduction

Vue générale, clocher (cloquièr) et Roc de Caylus au loin, 2010

A la Révolution, face à l’attitude modérée des autorités locales, les révolutionnaires de Saint-Affrique (Sant-Africa), et du Vabrais (Vabrés) en général, forment une Bande noire (Banda negra) qui s’en prend, entre autres, au château de Gissac (Gissac) qui fut pillé et brûlé en 1792. Celui de Montlaur (Montlaur) fut démonté en 1793 et les tours de Murasson (Murasson) rabaissées.

« La bibliographie de Saint-Affrique comprend quelques écrits de qualité, rédigés par Henri Affre (1899), Th. Nayral (1877), Léonce Raylet (1934-1943), François Decuq (Rétrospective de Saint-Affrique et de sa région, 1971), J. Poujol et J. Carel. Le lecteur curieux de l’histoire de cette ville devra s’y reporter. La ville aurait été fondée ou plutôt organisée par un évêque du Comminges, saint Affricain, contemporain et ami de saint Hilaire. Les Wisigoths avaient adhéré à l’arianisme. La persécution le fit s’enfuir dans la vicaria Curiensis où il fonda une église sous le patronage de saint Saturnin. C’est là qu’il fut enterré. Selon la tradition il fit de nombreux miracles (miracles de la couronne de feu, du riche contrefaisant le pauvre, de la barque engloutie…). En 1204, les châteaux de Saint-Affrique (Caylus) et

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