La sopa de sèrp
Rémy FOURNIER
SANTÉ
SERPENTS
--- En 1994 ---
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…
La peau ou la chair des serpents (sèrps) était souvent utilisée pour lutter contre une multitude de pathologies, notamment les douleurs abdominales ou les maladies de peau.
Informateur
« Pel mal de ventre, n'i a que fasián de sopa de sèrp. »