L'emplastre de formics
Roland CROS
SANTÉ
--- En 1998 ---
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…
On faisait aussi souvent appel à des guérisseurs.
Informateur
« Per se sonhar, anavan cercar de formics, una formilhièira, las fasián rostir e ne fasián d’emplastres. »