Embucar las aucas
Simon ALAZARD
VOLAILLE - PIGEONS - LAPINS
--- En 2001 ---
Introduction
La maîtresse de maison, la patrona, régnait sur le potager (òrt) et la basse-cour qui permettaient de couvrir une bonne partie des besoins alimentaires. Les excédents vendus au marché lui procuraient un peu d’argent pour les besoins de la famille.
En pays montanhòl, les oies (aucas) n’étaient pas toujours gavées (embucadas), mais elles étaient suffisamment grasses pour faire des quartiers confits. On les gavait avec du blé ou avec du maïs que l'on devait acheter.
Informateur
« Embucavan d’aucas dins presque totes les ostaus, chai. Crompavan de milh. Dins lo vilatge [Montpeirós], lo fasián venir e lo se partajavan. N’embucavan sièis o sèt. »