Prèsta-me lo tiu eriçon…
Jean DELOUVRIÉ
FOUR - PAIN
Formule
Introduction
On gardait le levain (levam) d’une fois sur l'autre et on pétrissait la pâte dans une maie (mag).
On répartissait ensuite cette pâte dans des corbeilles en paille (palhassas, palhassons) que l'on plaçait au chaud, souvent sous un édredon (plumon), afin qu'elle lève.
Cette enquête a été faite par Jean-Pierre Cassagnes.
Informateur
« Quand on n’avait plus de levain pour faire lever le pain, on allait chez le voisin et on lui disait :
“Prèsta-me lo tiu eriçon per me far eriçar lo miu !” »