Per ma fe, disiá la mameta…
Raymond GUIZARD
MARIAGE
Chant de charivari
--- En 2004 ---
Introduction
Lorsqu'un veuf (veuse, viuse) ou une veuve (veusa, viusa) se remariait, on organisait de bruyants charivaris (caravalins, carvalins, carivaris…) qui sont encore dans les mémoires.
Cette tradition offensante avait pour but de faire entendre le désaccord supposé du défunt ou de la défunte.
Des chansons étaient écrites pour la circonstance.
Celle-ci, composée à l'occasion du troisième mariage d'un homme, se chante sur l'air de "La Paimpolaise".
Informateur
« Per ma fe, disiá la mameta,
Aquò n’èra un brave enfanton.
Amai que siasca la trosièma,
Farà lo bonur del tanton. »