Las airadas e la batusa

André GRIFFOUL

BATTAGES

--- En 2000 ---

Introduction

Dans les temps anciens, on battait le grain à la latte (lata, pèrga) d’origine celtique ou au fléau (flagèl) d’origine latine. On frappait en cadence, face à face, et une tierce personne retournait les épis jonchant le sol.

On dépiquait aussi par piétinement du bétail (calcar, caucar, chaupir).

Les fermes disposaient en général d'une aire de battage pavée (sòl). Dans les villages, il y avait parfois un sòl commun.

Après, il fallait venter le grain au tarare (ventador, ventaire).

Les premières machines, appelées cròcapalhas, étaient actionnées par des hommes, à la manivelle, ou par un manège de vaches ou de juments. Vinrent ensuite les batteuses utilisant l’énergie produite par une machine à vapeur.

Le dernier jour des battages, on faisait un repas de fête, la solenca.

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