Embucar las aucas
Jean MIQUEL
VOLAILLE - PIGEONS - LAPINS
--- En 2001 ---
Introduction
La maîtresse de maison, la patrona, régnait sur le potager (òrt) et la basse-cour qui permettaient de couvrir une bonne partie des besoins alimentaires. Les excédents vendus au marché lui procuraient un peu d’argent pour les besoins de la famille.
En pays montanhòl, les oies (aucas) n’étaient pas toujours gavées (embucadas), mais elles étaient suffisamment grasses pour faire des quartiers confits. On les gavait avec du blé ou avec du maïs que l'on devait acheter.
Informateur
« Aicí, la grand-maire, mès jusca mas sòrres, an embucat. Aviam totjorn sièis aucas e las embucàvem per avure lo fitge e tot. Crompàvem de milh, e de gran, de blat. »